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Étiquette : naturalité

Compléments alimentaires à base de plantes : de quelle façon une marque peut-elle sécuriser et valoriser son offre ?

Avec près de la moitié de compléments alimentaires contenant des ingrédients à base de plantes, le marché nutraceutique français fait tout pour répondre à la demande croissante de naturalité de la part des consommateurs. Cette tendance à succès s’accompagne cependant de certaines dérives : les problématiques d’adultération de matières végétales sont en effet fréquentes dans le secteur du complément alimentaire, et ce, malgré l’encadrement réglementaire et les contrôles existants.

De nombreuses marques ont donc compris l’intérêt et surtout l’importance de se différencier en capitalisant sur l’efficacité et la sécurité d’utilisation de ce type de produits.

Certains acteurs de la filière sont même à l’initiative d’un nouveau militantisme : apporter plus de garanties et de transparence aux consommateurs avec un logo apposé sur les produits finis, caution de leur qualité et de leur innocuité.

Perception des compléments alimentaires : entre engouement et crise de confiance

Ce n’est plus à démontrer, depuis plusieurs décennies, le marché du complément alimentaire est dynamique – les derniers chiffres indiquent encore une croissance de 8% sur le réseau officinal français en 20231 – et porteur de nombreuses innovations (prenons l’exemple des galéniques « sensorielles », auxquelles nous avons consacré un article complet ici2).

D’après une étude d’Harris interactive Toluna3, 59% des Français déclarent avoir consommé des compléments alimentaires entre 2020 et 2022. Paradoxalement, la perception globale de cette catégorie de produits reste pourtant mitigée et particulièrement chez les non-consommateurs : « flou », « trompeur », « inutile » et « dangereux » sont des qualificatifs fréquemment associés à l’image qu’en ont les français4, traduisant une méfiance quant à sécurité d’emploi et l’efficacité des compléments alimentaires.

Les adeptes de solutions nutraceutiques déplorent un manque de preuves d’efficacité et leur note de satisfaction moyenne est de 6,9/104. Le manque de confiance est quant à lui fréquemment évoqué chez les non-consommateurs qui éprouvent le besoin d’une caution scientifique et médicale5.

les consommateurs dubitatifs face à la sécurité des compléments alimentaires et la qualité de leurs composants végétaux

Des risques liés à la qualité des ingrédients végétaux

On peut s’interroger sur cette défiance de la population. « Compléments alimentaires : comment décrypter le vrai du faux ? – Que valent les compléments alimentaires ? – Les compléments alimentaires sont-ils vraiment efficaces ? – Compléments alimentaires à base de plantes : des risques pour la santé – Inefficaces voire dangereux »6, régulièrement, les compléments alimentaires sont scrutés et décriés dans la presse, soulevant des questions tout aussi importantes qu’inquiétantes quant à leur innocuité.

Pour ceux d’entre eux qui se composent de plantes, la problématique centrale tourne autour de la nature et de la qualité « réelles » des ingrédients d’origine végétale utilisés.

Ceux-ci peuvent être sujets à des risques d’adultération, c’est-à-dire toute pratique visant à altérer, modifier ou contaminer délibérément des produits dérivés de plantes dans le but de tromper les consommateurs ou de tirer un avantage économique illégitime.

Cette altération peut prendre diverses formes, telles que l’ajout de substances étrangères, la dilution ou la substitution par des ingrédients de moindre qualité.

Chacun de ces biais se traduit par un écart inévitable entre ce qui est revendiqué sur l’étiquetage du produit fini et sa composition réelle. De quoi leurrer un consommateur qui n’a guère d’autre solution que de « croire ce qui est écrit ».

A noter que des confusions involontaires ou des contaminations accidentelles peuvent aussi compromettre la qualité d’une matière végétale et de ses ingrédients dérivés.

L’adultération ou l’art de substituer

Prenons l’exemple des baies de sureau (Sambucus nigra) devenues particulièrement convoitées pour leurs propriétés immunitaires pendant la période COVID. Le Programme américain de Prévention des Adultérations Botaniques (BAPP) a émis un bulletin d’alerte en 2021 révélant que sur 694 échantillons de produits à base de baies de sureau analysés, 119 (17,1%) étaient adultérés7. La falsification de ces préparations impliquait fréquemment l’ajout d’extraits non déclarés de riz noir (Oryza sativa), considérablement moins chers que les extraits authentiques de baies de sureau, ainsi que des substitutions par d’autres extraits de plantes riches en anthocyanes et des colorants alimentaires bleus ou violets…

Des téguments de cacahuètes en guise de pépins de raisin ? Du Sophora du Japon qui veut se faire passer pour du Ginkgo biloba ? Toutes les recettes sont bonnes pour tromper les appareils d’analyse phytochimiques – dont la faiblesse est d’être trop peu discriminants – et faire des économies substantielles en optant pour des plantes de substitution de moindre coût.

Avec pour conséquence une dégradation de l’efficacité et de la sécurité d’emploi des produits finis concernés.

Diluer pour mieux régner

Côté hexagone, la DGCCRF a réalisé en 2017 une enquête de surveillance sur les compléments alimentaires à base de plantes disponibles sur le marché français8. Le contrôle a porté sur la composition et les teneurs en principes actifs des produits analysés. Les résultats révélaient un taux de non-conformité de 17%, principalement lié à des écarts entre les quantités indiquées sur l’étiquetage et les teneurs mesurées.

Voilà peut-être la falsification la plus fréquente mais aussi la plus insidieuse : la plante revendiquée est bien présente dans le produit fini mais à des quantités trop faibles pour espérer l’efficacité promise par la marque et attendue par le consommateur. D’après BotaniCERT, laboratoire d’analyse de plantes et expert du végétal, 47% des ingrédients à base de plantes analysés entre 2020 et 2021 seraient « dilués voire très dilués ».9

Transparence, efficacité et sécurité : un triple enjeu pour les marques de produits à base de plantes

La demande de transparence de la part des consommateurs incite de plus en plus de marques à faire tester voire certifier leurs produits par des tiers, des laboratoires indépendants accrédités. Pour les metteurs sur le marché, l’enjeu est de taille : amener des consommateurs à faire le choix de la « valeur » plutôt que du prix et trouver un moyen fiable de leur garantir l’efficacité et la sécurité.

En 2022, Lisa Thomas alors directrice marketing et innovation chez Herbalife Nutrition, déclarait : « La certification tierce est une strate de sécurité supplémentaire offerte aux consommateurs. Bien que notre entreprise effectue des audits rigoureux de nos installations et des tests de produits, il existe certains domaines où les consommateurs souhaitent une assurance supplémentaire ».10

La démarche, déjà répandue aux Etats-Unis se voit de plus en plus adoptée en Europe et notamment en France avec le lancement récent de la toute première marque de qualité européenne pour les produits à base de plantes.

un consommateur heureux face à la transparence, l'efficacité et à l'innocuité de son complément alimentaire

La marque de qualité Botani+ à peine lancée, déjà adoptée 

Créée en 2023 par BotaniCERT, laboratoire français expert dans le contrôle des matières premières végétales, la marque Botani+ a pour vocation de garantir aux consommateurs des produits sûrs et efficaces.11

Concrètement, l’obtention de la marque Botani+ se traduit par l’apposition d’un logo sur les produits finis lauréats. Facilement identifiable, ce logo permet aux consommateurs d’orienter leur achat parmi une offre large et parfois difficilement lisible. Il est la preuve que le produit en question a passé avec succès un ensemble d’analyses chromatographiques, techniques de pointe qui permettent de séparer, identifier et quantifier les composants chimiques présents dans les extraits de plantes.

Découvrez Botani+, marque de qualité qui garantit la qualité du végétal.

L’identification phytochimique permet notamment de garantir que :

  • La plante est bien celle revendiquée sur l’étiquetage du produit ainsi que la partie utilisée (feuille, racine…)
  • La plante n’est pas mélangée à d’autres espèces
  • La matière n’est pas enrichie avec des molécules de synthèse ou naturelles
  • Les actifs végétaux sont présents en quantité suffisante pour authentifier avec certitude l’espèce présente

Le dosage des actifs permet quant à lui d’assurer que la plante n’est pas excessivement diluée et que sa concentration est suffisante pour assurer la présence des effets physiologiques dans le produit fini.

Rassurant pour les consommateurs, le logo Botani+ est aussi un indicateur de choix pour les marques désireuses de communiquer sur la rigueur et le sérieux de leur démarche qualité.

VIT’ALL+ et Nonna Lab12,13 ont été les premiers ambassadeurs de ce nouveau mouvement, pour encore plus de transparence et de qualité sur le marché des compléments alimentaires à base de plantes.

En tant que marque, susciter un premier achat est une chose, en assurer la récurrence en est une autre. Celle-ci dépend de la satisfaction initialement ressentie par le consommateur et qui l’incitera à revenir vers le même produit. L’efficacité est essentielle car elle garantit la longévité du produit sur le marché. Elle repose sur le choix de la formule et au moins tout autant sur la sélection des ingrédients.

Vous souhaitez vous différencier auprès de vos consommateurs et valoriser la qualité de votre gamme de produits à base de plantes ? BOTANI BRANDS est votre partenaire de confiance pour vous accompagner dans le lancement de produits validés Botani+, synonymes de qualité, de sécurité et d’efficacité.

En combinant les compétences de nos différents experts, nous sommes prêts à orchestrer de manière pertinente et adaptée le développement de votre produit de santé à base de plantes.

Que votre brief soit abouti ou encore en phase de consolidation, nous sommes là pour faire maturer votre projet et vous livrer une solution clé en main.

Contactez-nous pour échanger sur votre projet

Sources :

  1. GERS data 2023
  2. L’innovation galénique : l’intérêt de concilier efficacité et plaisir dans les compléments alimentaires – article BOTANI BRANDS https://www.botanibrands.com/le-blog/
  3. Baromètre 2022 de la consommation des compléments alimentaires en France https://www.synadiet.org/app/uploads/2022/04/202111060_harris_interactive_rapport_barometre_conso_cpal_2022_v2.pdf
  4. Les challenges et opportunités des compléments alimentaires par Harris Interactive Toluna pour NFBD 2019 https://harris-interactive.fr/catalogue/pages/complements_alimentaires.html
  5. Statistique correspondant à la question : « Sur une échelle de 1 à 10, êtes-vous satisfait(e) d’avoir pris/de prendre des compléments alimentaires ? »
  6. Titres d’articles de presse concernant les compléments alimentaires
  7. BAPP – Botanical Adulterants Prevention Program – cas de l’adultération du sureau https://www.herbalgram.org/resources/botanical-adulterants-prevention-program/adulterants-bulletins/european-elder-berry-and-berry-extracts-bulletin-june-2023/
  8. Rapport de l’Académie nationale de Pharmacie « Les compléments alimentaires contenant des plantes » https://www.theragora.fr/revues/ANP-rapport-compl%C3%A9ment-alimentaire-0219.pdf
  9. BotaniCERT – cas de falsification d’ingrédients à base de plantes – Statistiques internes 2020-2021 https://www.botanicert.com/actualites/
  10. Herbalife – certification par laboratoire indépendant https://www.nutraceuticalsworld.com/contents/view_online-exclusives/2022-05-10/third-party-certifications-support-consumer-demand-for-quality-and-transparency/
  11. Botani+ première marque de qualité produits à base de plantes https://www.botaniplus.com/
  12. VIT’ALL+ validé Botani+ https://www.vitalplus.com/
  13. Nonna Lab validé Botani+ https://nonnalab.com/collections/nonna-choc

Anti-poux : comment joindre le naturel à l’efficace ?

La question est récurrente : comment se débarrasser efficacement des poux ? La compagnie de ces parasites hématophages n’est guère agréable et l’envie démange enfants et parents de s’en séparer au plus vite.

Les traitements anti-poux ont beaucoup évolué ces dernières décennies pour répondre à la demande croissante du grand public et s’adapter au phénomène de résistance développé par les insectes. L’objectif ultime étant de proposer une solution efficace et de tendre vers plus de naturalité tout en garantissant l’innocuité du produit sur l’Homme mais aussi sur l’environnement. 

Développement du marché des soins anti-poux

Le marché mondial des traitements contre les poux affiche une croissance rapide : il était évalué en 2021 à 93,47 millions de dollars et devrait atteindre 156,44 millions de dollars d’ici 2029. Soit un taux de croissance annuel estimé de +6,65 % pour la période 2022-2029.1

Profitant de cette demande forte du marché, les produits anti-poux se sont multipliés ces dernières années, sans que leur pertinence ou leur efficacité n’ait pour autant été validée.   

« Nous tenons à sensibiliser les patients et le grand public sur le fait que les traitements anti-poux sont devenus un marché commercial important, échappant à l’évaluation thérapeutique sérieuse de certains produits et certaines stratégies thérapeutiques utilisés. » a alerté dès 2019 la Société Française de Dermatologie dans un communiqué.2

Deux grandes catégories de traitements

Initialement, le marché était dominé par des produits insecticides à action neurotoxique tels que les pyréthrines ou le malathion, qui agissent en ciblant le système nerveux des insectes adultes et des lentes. Toutefois, leur efficacité a été compromise par l’émergence de phénomènes de résistance des poux à ces substances. Ils sont de plus pointés du doigt pour leurs effets potentiellement nocifs sur la santé, engendrant une recherche de solutions naturelles de la part des consommateurs.

L’ANSM a pris des mesures pour limiter l’utilisation du malathion, en imposant la nécessité d’une prescription médicale, et en renforçant les contre-indications et les précautions d’emploi en réponse à ses effets indésirables (troubles neurologiques : maux de tête, nausées, vomissements et très rarement, des convulsions chez l’enfant). Dans ce contexte, ces produits, autrefois classés comme médicaments, ont été retirés du marché français. Le dernier produit de ce type, le Prioderm®, n’est plus fabriqué depuis fin 20183.

Désormais, les traitements les plus couramment utilisés sont basés sur le diméthicone, un composé synthétique qui appartient à la famille du silicone. Ces produits agissent mécaniquement en « étouffant » les poux et les lentes, privant ainsi ces parasites d’oxygène et les empêchant de respirer. Ils sont souvent désignés sous le terme « d’étouffeurs ».

À noter que contrairement aux traitements précédents, il n’y a pas de signes de résistance observés avec ces composés. Toutefois, il est impératif de prendre des précautions liées à leur inflammabilité, comme éviter l’exposition des cheveux à la chaleur après le traitement (d’où les précautions d’emploi telles que : « Rester loin d’une source de chaleur » ou « Laisser sécher les cheveux à l’air libre »).

L’huile de coco, une alternative naturelle

Cette huile végétale est extraite de la noix de coco (Cocos nucifera). Elle est largement reconnue pour ses utilisations en cosmétique et en soins capillaires en raison de ses propriétés hydratantes et nourrissantes.4,5 Elle est également employée comme méthode naturelle et mécanique pour éliminer les poux. Elle appartient par conséquent à la classe I des dispositifs médicaux et agit, elle aussi, comme un « étouffeur ». Concrètement, lorsque l’huile de coco est appliquée généreusement sur les cheveux et le cuir chevelu, elle englue les poux et les lentes. Cette couche d’huile obstrue leurs orifices respiratoires, les privant ainsi d’oxygène. Les parasites perdent leur fluides internes, se déshydratent et finissent par mourir.

Une efficacité cliniquement évaluée

Une étude anglaise de 2009 a évalué l’efficacité d’un shampoing à base d’une émulsion dérivée de la noix de coco contre l’infestation par les poux de tête chez les enfants.

L’étude s’est déroulée sous forme d’essai en milieu scolaire, où les élèves ont été traités les jours 0 et 7, puis contrôlés les jours 8 et 15. Un essai en milieu familial a également été réalisé, où le produit a été appliqué par les parents trois fois en l’espace de deux semaines.

Les résultats de l’essai en milieu scolaire ont montré qu’au bout de 8 jours, 61% des enfants étaient débarrassés des poux après avoir utilisé le shampoing à base d’huile de coco, contre seulement 14% des écoliers qui avaient été traités avec un produit à base de perméthrine.

La perméthrine est un insecticide synthétique qui agit en perturbant le système nerveux des insectes et en provoquant leur paralysie, ce qui entraîne leur mort. Suspectée d’être un perturbateur endocrinien6,7, la perméthrine n’est plus utilisée dans les produits anti-poux.

Dans l’essai en milieu familial, où tous les membres de la famille ont été traités, le taux de guérison atteignait 96% avec l’huile de coco.

Un produit végétal efficace sous conditions

En réponse à une demande accrue de naturalité, on comprend donc pourquoi l’huile de coco est de plus en plus plébiscitée par les consommateurs.

Cependant, l’efficacité n’est pas systématiquement au rendez-vous parmi l’offre de produits existants. La nature des huiles de coco varie en effet suivant l’origine ou la période de récolte de la matière première.

Cette variabilité végétale conditionne directement sa composition en acides gras et par conséquent son efficacité dans l’élimination des poux, les acides gras étant les composés responsables de leur étouffement.

Heureusement des preuves de garanties existent ! Certains fournisseurs ont élaboré un cahier des charges strict permettant de certifier la même composition d’un lot de matière à l’autre. Les spécifications incluent un profil d’acide gras unique dont l’efficacité sur les poux et les lentes a été testée et prouvée à hauteur de 100%.

Les nombreux atouts de l’huile de coco contre les poux

Les nombreux atouts de l'huile de coco contre les poux avec BOTANI BRANDS, Natural Selfcare Architects

Hypoallergénique

Un des nombreux avantages de l’huile de coco est son faible potentiel allergène8,9. L’huile de coco est extraite de la pulpe de noix de coco et ne contient généralement pas les protéines responsables de nombreuses allergies alimentaires.

Cette absence d’effet sensibilisant en fait un produit idéal pour toute la famille, incluant bébés, jeunes enfants et femmes enceintes.

Biodégradable

Par ailleurs, certains fabricants de traitements anti-poux prêtent une attention particulière à l’impact environnemental de leurs produits : les huiles de coco utilisées dans leurs lotions sont dites « facilement biodégradables » d’après les normes OCDE 301 F.

Les normes OCDE 301 F font référence à une série de méthodes d’essai développées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour évaluer la biodégradabilité de produits chimiques et de substances dans l’environnement aquatique.

La biodégradabilité est un aspect fondamental dans la formulation de produits cosmétiques et des produits rincés.

De ce point de vue, l’utilisation du diméthicone (principal traitement anti-poux et appartenant à la famille des silicones) peut poser question.

Christine Lafforgue, ancienne présidente de la Société Française de Cosmétologie (2018-2021), biologiste et chimiste de formation, a évoqué le sujet dans une interview10 : « En vérité, le seul danger du diméthicone, c’est son impact environnemental. C’est un composant qui n’est pas biodégradable et qui est néfaste pour la santé de la planète. La réglementation européenne REACH essaye de hiérarchiser l’utilisation du diméthicone, de voir si on peut limiter sa production pour certains produits. Il faut réfléchir à l’intérêt du produit face à son impact sur l’environnement. »

Plaisir d’utilisation d’un soin anti-poux, est-ce possible ?

Hypoallergénique et non irritante, l’huile de coco est tout à fait adaptée à un usage familial et à fréquence régulière.

Grâce à des procédés de fabrication confidentiels, certains fournisseurs sont même parvenus à rendre l’huile non grasse pour un confort d’utilisation optimal.

En tant que marque, il est donc désormais possible d’intégrer à votre gamme un anti-poux naturel et surtout à l’efficacité prouvée, non irritant, non gras, respectueux de l’environnement et sans silicone !

L’efficacité de cette solution repose sur un sourcing exclusif et spécifique de la matière première ainsi que sur une solide maîtrise de la technique de formulation.

Grâce à des liens privilégiés avec des partenaires industriels européens, les experts de BOTANI BRANDS vous accompagnent dans la formulation d’un produit efficace et prêt à l’emploi.

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Sources :

  1. https://www.sfdermato.org/media/pdf/communique-presse/sfd-cp-pediculosvf-f83a93cd0c638309eda86525984c1518.pdf
  2. Global Lice Treatment Market – Industry Trends and Forecast to 2029 – Data Bridge Market Research
  3. https://ansm.sante.fr/actualites/arret-de-commercialisation-de-la-lotion-anti-poux-prioderm-a-la-suite-du-renforcement-de-ses-conditions-de-prescription
  4. Varma, S. R., Sivaprakasam, T. O., Arumugam, I., Dilip, N., Raghuraman, M., Pavan, K. B., Rafiq, M., & Paramesh, R. (2018). In vitro anti-inflammatory and skin protective properties of Virgin coconut oil. J Tradit Complement Med, 9(1), 5-14. https://doi.org/10.1016/j.jtcme.2017.06.012
  5. Deen, A., Visvanathan, R., Wickramarachchi, D., Marikkar, N., Nammi, S., Jayawardana, B. C., & Liyanage, R. (2021). Chemical composition and health benefits of coconut oil: an overview. J Sci Food Agric, 101(6), 2182-2193. https://doi.org/10.1002/jsfa.10870.
  6. Sheikh, I. A., & Beg, M. A. (2021). Structural Aspects of Potential Endocrine-Disrupting Activity of Stereoisomers for a Common Pesticide Permethrin against Androgen Receptor. Biology (Basel), 10(2), 143. DOI: 10.3390/biology10020143. PMID: 33670303. PMCID: PMC7918290.
  7. Sheikh, I. A., & Beg, M. A. (2021). Structural Aspects of Potential Endocrine-Disrupting Activity of Stereoisomers for a Common Pesticide Permethrin against Androgen Receptor. Biology, 10(2), 143. https://doi.org/10.3390/biology10020143
  8. Stutius, L. M., Sheehan, W. J., Rangsithienchai, P., Bharmanee, A., Scott, J. E., Young, M. C., … Phipatanakul, W. (2010). Characterizing the relationship between sesame, coconut, and nut allergy in children. Pediatr Allergy Immunol, 21(8), 1114-1118. doi: 10.1111/j.1399-3038.2010.00997.
  9. Fries, J. H., & Fries, M. W. (1983). Coconut: A review of its uses as they relate to the allergic individual. Ann Allergy, 51(4), 472-481. PMID: 6354008.
  10. Interview de Christin Lafforgue sur le dimethicone – https://www.cosmopolitan.fr/qu-est-ce-que-le-dimethicone-dans-les-cosmetiques-quels-dangers,2056442.asp

Nos références